Literature Questions
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C'était à faire dresser les cheveux sur la tête
Dans l'attente de votre réponse, je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes sentiments les meilleurs.
Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre,À côté des fourmis les populations ;Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre,J'ignore en les portant les noms des nationsOn me dit une mère et je suis une tombe.Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe,Mon printemps ne sent pas vos adorations.
Gassion, grand guerrier, grave, General, gouvernait gracieusement grosses garnisons
Et si cette année vous trompiez votre amant avec votre mari ?
Vêtu de probité candide et de lin blanc
Mais tout dort, et l'armée, et les vents, et Neptune
Je ne vous ferai pas l'affront de vous rappeler que vous n'êtes pas invité à cette soirée. Un seul était en désaccord avec nous, monsieur Leblanc, pour ne pas le nommer.
Je suis la pipe d'un auteur;On voit, à contempler ma mine,D'Abyssinienne ou de Cafrine,Que mon maître est un grand fumeur.
« C'est un roc ! ... C'est un pic ... C'est un cap ! Que dis-je, c'est un cap ? ... C'est une péninsule ! »
Il faut les croire sur baiserEt sur parole et sur regardEt ne baiser que leurs baisers
"Les miroirs feraient bien de réfléchir avant de nous renvoyer notre image" - J. Cocteau
Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher
S'attacher au combat contre un autre soi-même,Attaquer un parti qui prend pour défenseur,Le frère d'une femme et l'amant d'une sœur,Et rompant tous ces nœuds, s'armer pour la patrie,Contre un sang qu'on voudrait racheter de sa vie,Une telle vertu n'appartenait qu'à nous ;L'éclat de son grand nom lui fait peu de jaloux, [...] - P. Corneille
Il rajusta son col et son gilet de velours noir sur lequel se croisait plusieurs fois une de ces grosses chaînes d'or fabriquées à Gênes ; puis, après avoir jeté par un seul mouvement sur son épaule gauche son manteau doublé de velours en le drapant avec élégance, il reprit sa promenade sans se laisser distraire par les œillades bourgeoises qu'il recevait.
« J'en ai marre, marabout, bout de ficelle, selle de cheval... »
Pour répondre à la problématique je diviserai ce texte en 4 partie le premier paragraphe parlera d la description de la croûte du pain, le paragraphe 2 abordera la cuisson du pain, le paragraphe 3, la mie du pain et enfin le dernier paragraphe sera la chute.
Comment le poète transforme-t-il l'immonde en objet poétique ?
Dans un premier temps dû vers 1 au vers 8 je parlerais d'un oiseau pris au piège puis du vers 9 au vers 12 je parlerai de l'être tragique qui est l'oiseau et enfin du vers 13 à la fin je parlerais de l'albatros une métamorphose du poète.
Pour répondre à la problématique je diviserai mon texte en 3 partie premièrement de la strophe 1 à 4 je parlerais d'une macabre découverte, puis de la strophe 5 à 9 du travail de la décomposition et de là strophes 10 à la fin des pouvoirs de la poésie.